Karine Jacob

avocat jacob castres

PRÉSENTATION

La Justice est un vecteur fondamental de Paix Sociale, et La Famille est le socle de la Société. Prenons-en Soin.

J’ACCOMPAGNE LES COUPLES QUI SE SEPARENT ET QUI SOUHAITENT RECHERCHER UNE ISSUE SATISFAISANTE POUR TOUS.

QU'ILS SOIENT OU NON EN BONS TERMES AU MOMENT DE LA SEPARATION.

Je suis AVOCATE, inscrite à l'Ordre des Avocats du Barreau de Castres, depuis 2006, et Praticienne convaincue des Modes Amiables de Règlement des Différends (Mards).

Issue du milieu commerçant, je suis très attachée à la QUALITE des relations humaines, du conseil, et de la prestation.

Ma formation de base à l’Université a été le Droit Economique et des Affaires car j’étais attirée par le caractère dynamique de ces matières. J’avais choisi le droit européen et suis partie étudier pendant une année aux Etats-Unis, par envie de m’ouvrir au monde.

Cela m’a beaucoup plu. Toutefois, au fur et à mesure de ma pratique d’avocate, mon activité s’est centrée naturellement vers la famille, et encore plus spécifiquement l’accompagnement des couples qui se séparent. J’y trouve beaucoup de sens à mon métier.

J’ai plaisir à vous proposer un accompagnement à la fois technique et humain.

D’ailleurs, l’Humanité fait partie des piliers de notre serment d’Avocat « Je jure d’exercer mon Métier avec Diligence, Conscience, Probité, Indépendance et Humanité ».

Je suis membre de l’Association "LES AVOCATS DE LA PAIXr" qui œuvre pour le développement des Modes Amiables au sein de la Profession d’Avocat.

Par ailleurs, je suis également MEDIATRICE depuis 2016, et Présidente de l’Association « OC’ MEDIATION – Centre de MEDIATION DU TARN » (Pour + de précision /Médiation, cf onglet suivant)

Précision : La Médiation est selon le Règlement Intérieur de la Profession d'Avocat une activité Annexe pouvant être pratiquée par l'Avocat. Lorsqu'un Avocat est également Médiateur, il ou elle porte l’une ou l’autre « casquette » .Dans mes fonctions d’avocate, je n’ai pas la même posture que le Médiateur, qui est un tiers neutre et impartial, et dans mes fonctions de Médiatrice, je ne dispense aucun conseil.

📚 Mes diplômes / Mes Formations depuis 2006 : 

  • Certificat d'Aptitude à la Profession d'Avocat en 2006.
  • Certificat de Médiateur délivré par l'Institut Armedis en 2016,
  • Formation au processus collaboratif dispensée par L’AFPDC (Sophie CREPIN ET SYSLIE ALBERTELLI) en 2019.
  • Formation à la Procédure participative en 2019-2021 (Maître Sophie CREPIN).
  • Formation à la Négociation réaliste (raisonnée) en 2023, par PRO-NOGO (Adrian BORBELY et Myriam DELONCA)
  • Régulièrement, je suis des formations juridiques sur les divorces et la liquidation des Régimes Matrimoniaux, ainsi que les mesures relatives aux enfants.
  • Je continue également à suivre des Formations sur les modes de règlement amiable et des techniques de communication (Initiation à la CNV, méthode des couleurs d’Armedis).

MA CONCEPTION DU ROLE DE L'AVOCAT EN DROIT DE LA FAMILLE 

Mon accompagnement consiste à proposer de CO-CONSTRUIRE les suites de la séparation concernant les enfants et les biens, et aussi, en cas de besoin, à assainir la relation (en utilisant les outils du processus collaboratif entre autres, pour contribuer à débloquer ce qui a besoin de l’être, pour avancer sereinement, mais aussi à la poursuite de la coparentalité).

L’approche amiable, c’est à dire non contentieuse (= non judiciaire) mais également non hostile est personnalisée et technique, et permet de rechercher de résultats satisfaisants, en termes de durée, d’efficacité, de satisfaction quant à la solution trouvée (recherche de la solution sur mesure adaptée à la situation spécifique et aux personnes en présence). 

J’ai fait le choix de me dédier aux personnes qui se séparent, car 1 séparation est un cap important à passer, qui mérite une attention, une disponibilité et une réactivité particulières.

inspirée par la Fameuse Marque "C'EST QUI LE PATRON"R  je vous partage, pour illustrer mes propos, des avis de mes clients, qui expliquent ce qu'ils ont apprécié dans ma façon de travailler : 

Madame S. L , Avis déposé en juin 2024

"J'ai fait appel à Me Jacob dans le cadre d'une recherche d'accord parental à déposer au JAF suite à ma séparation avec le papa de mes enfants.
Me Jacob m'a conseillé de rechercher des solutions à l'amiable; nous avons donc eu un RDV confidentiel à 4 (moi, Me Jacob et Mr ainsi que son avocate) qui a permis de débloquer la situation et trouver un accord global permettant d'intégrer les besoins et intérêts de chacun et de trouver ainsi des solutions personnalisées.
Cela est tellement plus satisfaisant, même pour le juge, qui homologue un accord conforme à l'intérêt des enfants.
Je remercie grandement Me Jacob pour son professionnalisme, son écoute, sa disponibilité, sa réactivité, sa bienveillance
."

Monsieur A. E , Avis déposé en juin 2024

Je tiens à exprimer ma plus profonde gratitude envers Maître Karine Jacob pour son professionnalisme, sa compétence et son dévouement tout au long de ma procédure de divorce. Dès notre premier entretien, elle a su faire preuve d'une grande écoute et d'empathie, tout en me fournissant des conseils juridiques clairs et précis. Son expertise et sa rigueur m'ont permis de traverser cette période difficile avec sérénité.
Maître Jacob a toujours été disponible pour répondre à mes questions et a fait preuve d'une réactivité exemplaire, que ce soit par téléphone ou par mail. Elle a su me guider à chaque étape de la procédure, m'expliquant avec patience les implications juridiques de chaque décision.
Son approche humaine et son professionnalisme ont été déterminants pour le bon déroulement de mon dossier.
Je recommande vivement Maître Karine Jacob à toute personne à la recherche d'une avocate compétente, dévouée et à l'écoute. Elle a su faire preuve d'un engagement exceptionnel et je lui en suis infiniment reconnaissant.
Merci encore, Maître Jacob, pour votre soutien et votre excellent travail
!

Monsieur JF. C , Avis déposé en août 2019

"Très professionnelle, efficaces, pédagogue, ne multiplie pas les procédures pour gagner de l'argent, humaine, explique la procédure, vous dit la vérité en face mais avec élégance, essaye de trouver la meilleure solution pour tout le monde, négocie avec la partie adversaire, la classe simplement, une étoile dans le ciel. Une très bonne conseillère juridique."

S.P. Juillet 2023 : 

"Je tiens à exprimer ma sincère gratitude envers Maître Jacob pour son soutien précieux lors de mon divorce, une période difficile de ma vie. Sa rapidité d'action et son professionnalisme m'ont impressionné. Son écoute attentive et ses conseils éclairés m'ont permis de surmonter les défis avec confiance. Je le recommande vivement pour ses compétences et son empathie inestimable. Merci infiniment, Maître Jacob, pour tout ce que vous avez fait pour moi."

COMMENT SE DEROULE NOTRE COLLABORATION

En matière de divorce, chaque époux doit avoir son propre avocat, de sorte que dès la 1ere consultation, je reçois seulement un époux.

Pour les couples non mariés, l’avocat n’est pas obligatoire, mais je recommande au minimum une consultation par l’une ou l’un de vous, ou les deux, avant de déposer une requête conjointe, pour s’assurer de prévoir tout ce qui est utile, ou bien, s’il n’y a pas d’accord trouvé, afin d’identifier avec l’un d’entre vous ou vous deux, comment pourrait être recherché cet accord conforme à l’intérêt de tous les membres de la famille (celui des enfants est au centre de la réflexion, étant précisé que le fait que les parents exercent une coparentalité saine est un critère essentiel de l'intérêt des enfants). Je précise que si je suis saisie par vous deux en vue de la recherche d'un apaisement/d'un accord, en cas de désaccord à l'issue de mon intervention, je ne poursuis ensuite ni pour l'un ni pour l'autre.

Le 1er RDV dure environ 1h30, afin d’écouter la personne sur sa situation spécifique et répondre à ses questions, et l’informer sur l’état de ses droits et ceux de l’autre, et commencer à réfléchir à des pistes de solutions qui intègrent également l’équité, tenant compte des besoins identifiés.

Ensuite, si vous choisissez de me saisir, j’échange pour avancer au mieux, avec vous, avec l’avocat de votre époux(se), et éventuellement avec le notaire en présence de biens immobiliers, par des appels téléphoniques, des courriers confidentiels, des projets d’actes, jusqu’à la signature de l’acte formalisant les accords.

 

 

Si vous me demandez un échange, je m’attache à vous répondre dans un délai court (en dehors de mes périodes de congés pendant lesquels je fais une vraie pause).

Des rendez-vous à 4 (chacune des personnes et leur avocat) avec accord de confidentialité peuvent également être organisés avec l’autre avocat. Ce type de réunion est souvent très positif.

Cette proposition d’accompagnement s’adresse autant aux situations dans lesquelles la relation est dégradée qu’aux couples qui se séparent en bons termes.

Le tout est de vouloir entreprendre cette démarche que je qualifie de courageuse et responsable :

Pour cela, quelques clés

🗝️se rappeler que vous vous êtes aimés, respectés, avec vos différences,
🗝️être guidé(e) par la VOLONTE de préserver les enfants,
🗝️ Vouloir être acteur avec l'autre de cette construction de l’avenir - celui des enfants.

Bien sûr, cela n’est pas toujours possible, notamment lorsqu’il y a eu de vraies violences physiques ou psychologiques. En cas d’allégation de ce type d’actes, n’étant pas pénaliste, je n’interviens pas.

RETOUR SUR MON EXPERIENCE DEPUIS 2006  :

Mon expérience me permet d’affirmer qu’une TRES GRANDE MAJORITE de personnes séparées ne devraient pas avoir à demander au juge de TRANCHER au sujet de leur vie et celle de leurs enfants. 

En effet, l’approche hostile tend souvent à abîmer les situations et les personnes, alors que l’approche non hostile permet de sortir de la situation par le haut.

Depuis 2021, les époux peuvent avec leurs avocats mettre en place les mesures provisoires sans saisir le juge.

Dans mon cabinet, cela s’est traduit par la formalisation de la plupart de mes dossiers par des divorces qui ont été formalisés soit par un divorce par consentement mutuel soit par un divorce accepté avec accord total sans avoir à saisir le juge pour fixer les mesures provisoires.

J’en profite d’ailleurs pour remercier tous mes clients qui m’ont accordé leur confiance, ainsi que les confrères qui travaillent avec moi dans ce sens. Continuons ensemble dans cette démarche.

SUJETS ABORDÉS FREQUEMMENT DANS MES DOSSIERS  :

- LES ENFANTS 🎈

(Divorces et hors Divorces) et leurs conséquences relatives aux enfants :

  • Exercice conjoint ou exclusif de l’Autorité Parentale,
  • Résidence Alternée ou résidence chez l’un des parents,
  • Droit de visite et d’hébergement du parent qui n’a pas la garde principale du /des enfant(s)
  • Contribution à l’entretien et l’éducation (Pension alimentaire);

- LES DIVORCES

Dans les divorces, on évoque également les mesures relatives aux enfants.

Il existe 4 façons de divorcer.

Chaque divorce est unique, et il doit être construit/préparé en tenant compte de la situation de chaque membre de la famille.

Le divorce par consentement mutuel : 

Depuis la réforme de 2016 mise en oeuvre en 2017, cette Forme de divorce amiable, qui se formalise par une convention de divorce (acte contresigné par les avocats) est possible lorsque les époux sont tous deux d'accord pour divorcer, et qu'en outre, ils ont trouvé un accord sur l'ensemble des conséquences de la séparation concernant. Il doit être procédé à la Liquidation du Régime Matrimonial, si il y a lieu à liquidation. En présence d'un bien immobilier, la convention de divorce intègre l'acte notarié de liquidation, qui figure en annexe.

Le divorce prononcé par le juge : 3 cas possibles :

. Le divorce pour acceptation du principe de la rupture (« divorce accepté » : Ne sont évoquées que les conséquences du divorces, en renonçant à évoquer les causes). Cela peut être une autre forme de Divorce Amiable, lorsque les époux sont parvenus avec l'accompagnement de leurs avocats, à un accord sur toutes les conséquences de la séparation. Lorsque le régime matrimonial ne peut pas être liquidé au moment où les époux souhaitent divorcer (exemple : lorsque le bien est en cours de vente), les époux peuvent opter pour cette forme de divorce pour formaliser le divorce. Dans ce cas, le plus souvent, le juge prononce le divorce, ordonne que le divorce soit transcrit sur les actes d'état civil, traite les conséquences relatives aux enfants, la question de l'usage du nom marital, et la prestation compensatoire si il y a lieu, et évoque le sort des éventuels avantages matrimoniaux et donations. Cette forme de divorce peut être choisie également quand les époux souhaitent avant toute chose divorcer, et s'occuper ensuite de liquider le régime matrimonial. Mais quoiqu'il en soit, il est vivement recommandé, même dans ce cas, de réfléchir à ce que sera la liquidation du régime matrimonial.

. Le divorce pour altération du lien conjugal : Séparation de plus d'une année. L'époux qui demande le divorce doit prouver la date de la séparation. Mais il peut avant l'expiration de l'année, solliciter des mesures provisoires, si les époux ne sont pas parvenus à les mettre en oeuvre spontanément.

. Le divorce pour faute / celui dans lequel 1 des époux souhaite voir sanctionné l’autre au titre d’une violations d’une ou des obligations du mariage. Il doit prouver la faute, le lien de causalité et le préjudice subi pour soutenir sa demande d'indemnisation. Ce divorce existe toujours, mais il est de moins en moins pratiqué.

Dans les 3 formes de divorces devant le juge, il est obligatoire de mentionner la proposition de règlement du régime matrimonial.

 

Depuis la réforme du divorce de 2019 mise en oeuvre en Janvier 2021, on peut gagner un temps précieux en cas de divorce devant le juge, en recherchant sans passer par le juge, un accord sur toutes les conséquences du divorce.

En effet, si on s'entend sur la façon de fonctionner dans l'attente du prononcé du divorce (les avocats peuvent contribuer à rechercher cette entente), le juge n'a pas à trancher sur des mesures provisoires, et on peut ainsi lui demander dès la 1ère audience de prononcer le divorce dans un jugement qui intègrera les conséquences sur lesquelles les époux se sont entendus :

Concernant les enfants, la conservation ou non du nom marital, l'existence ou non d'une prestation compensatoire et ses modalités, la proposition de règlement du régime matrimonial ou de la convention de liquidation du régime matrimonial (partage ou maintien dans l'indivision sur les biens communs ou indivis, règlement des récompenses/créances entre époux ou entre un époux et la communauté ou l'indivision), avec ou non demande d'homologation, le sort des donations et avantages matrimoniaux. A l’issue de cette procédure, le juge prononce le divorce et invite les époux à liquider le régime matrimonial

L'existence ou non, et les modalités de la Prestation compensatoire, en capital, en nature, mixte, etc , doivent également être évoquées.

Il faut pour cela qu'une disparité significative de situation financière (revenus et patrimoines) résulte de la rupture du mariage.

La durée du mariage, le nombre d'enfants, les choix du couple en termes de carrière, l'âge de l'époux ou l'épouse qui peut la revendiquer, l'état de santé des époux, les droits prévisibles ou existants à la retraite, etc.

Le patrimoine des époux après la liquidation du régime matrimonial doit également être pris en compte.

D'où la pertinence de réfléchir sur tous ces points avant de formaliser le divorce

L'idéal est de réfléchir dès le départ de façon globale sur les conséquences financières et patrimoniales du divorce, tant d'un point de vue des droits dans la liquidation (la notion de Récompenses est parfois évoquée en régime de communauté, et celle de créances entre époux ou envers  l'indivision en cas de régime séparation de biens), que du point de vue de la prestation compensatoire.

Grâce à des échanges constructifs avec leurs clients et entre eux, les avocats peuvent apporter à la fois


➡️Les compétences juridiques et techniques, en collaboration avec le notaire en présence de biens immobiliers,
➡️ Un suivi personnalisé et réactif et l’écoute active permettant d’identifier les besoins de chacun, et au besoin contribuer au déblocage de ce qui a besoin d'être débloquer au niveau relationnel, pour avancer plus sereinement.

Que l'on soit en bons ou mauvais termes au départ, choisir cette démarche, c'est se donner la chance de tourner la page de façon SATISFAISANTE et d'ALLER de l'AVANT !

- LES SEPARATIONS DE COUPLES NON MARIES